Avec le lancement de la trousse urinaire légale dans toutes les salles d'urgence du Québec, le 1er décembre 2023 (lien vers le communiqué de presse : bit.ly/3RsSZay), le Service-conseil veut s’assurer que certaines informations et certains protocoles demeurent clairs pour les centres désignés.  

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La trousse urinaire légale est essentiellement le même type d'échantillon et la même analyse effectuée au Laboratoire des sciences judiciaires et de médecine légale (LSJML) que l'échantillon d'urine de la trousse médicolégale. La trousse urinaire légale ne représente pas une technologie nouvelle ou plus avancée en matière de collecte ou d'analyse. Il n'est donc pas nécessaire d'utiliser une trousse urinaire légale pour les personnes victimes d'agression sexuelle. Le prélèvement urinaire contenu dans la trousse médicolégale est suffisant.

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Deuxièmement, tout(e) patient(e) qui se présente dans un établissement de santé et qui n'est pas certain(e) d’avoir été victime d'une agression sexuelle à la suite d’une perte de conscience ou de mémoire en raison d'une intoxication doit toujours être orienté(e) dirigé(e) vers le centre désigné. La trousse urinaire légale ne devrait être utilisée que pour les patient.(e.)s qui sont certain.(e.)s sur le fait qu'aucune agression sexuelle potentielle n'a eu lieu pendant cette période de perte de conscience ou de mémoire.  

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Enfin, le protocole d'intervention médicosociale concernant l'implication de la police reste le même. Les trousses médicolégale et médicosociale peuvent être complétées avant que les personnes victimes ne décident d'entamer un processus judiciaire. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour les questions relatives à l'intervention médicosociale, n’hésitez pas à nous contacter !

L’équipe du Service-conseil
L’allié des centres désignés